1/ Être un peu moins défaitiste et avoir plus d'ambitions
2/ Après 20 ans d'échec, 278 heures de conduite, 2 recalages à l'examen, avoir ce *°U#AIN DE PERMIS !!!!
3/ Mettre un peu plus d'énergie à développer mon réseau dans le monde de l'Art et de l'édition :
4/ Réussir à faire UNE traction :
5/ Moins jouer aux jeux vidéos :
6/ Avec l'aide précieuse de Piou-piou et Nybou, continuer à purifier mon karma négatif :
7/ Être un petit copain plus attentionné :
8/ Ne plus me plaindre :
9/ Me reconnecter plus souvent au sens porté par le lieu où je vis :
10/ Trouver une activité rémunérée et stable qui me permettra de rester dans le Périgord Noir et de continuer à m'investir bénévolement dans un centre Bouddhiste :
11/ Penser un peu plus à mon petit Bouddha intérieur :
12/ Voir plus souvent mon père et lui exprimer mon affection :
13/ Dompter mon désir :
14/ Être moins jaloux de l'Américain Tatoué :
mardi 3 mars 2015
jeudi 11 décembre 2014
Les chats, c'est vraiment rien que des branleurs
D'abord Dieu créa un être à son
image : distant, ne se manifestant que rarement et donnant
pourtant à certains l'envie irrépressible de le servir. Dieu créa
le chat.
Le chat est fourbe : la 1ere année,
il revêt une apparence qui vous donne envie de l'aimer, le
chouchouter, le câliner, lui faire des bisous et lui passer toutes
ces conneries...
...les 18 années suivantes, le chat
avancera à visage découvert.
Le chat a un problème : son
orgueil.
Vous pensez sincèrement que votre chat
vous aime ? Que nenni.
Voici simplement un chat qui a faim :
Et voici un chat qui n'a pas faim :
Le chat a des problèmes psychologiques...
Beaucoup de problèmes psychologiques...
Vraiment beaucoup de problèmes
psychologiques.
Certains pensent même que le chat est
carrément un peu psychopathe.
N'oubliez pas : VOUS êtes au
chat.
Selon le chat, un être humain ne doit avoir qu'un seul but dans la vie : le servir.
Encore et toujours, inlassablement le
servir.
Est-ce que je vous ai déjà dit que le
chat avait un problème d'ego ?
On se demande parfois si le chat n'est pas là juste pour nous détruire. A petit feu.
Nous empêchant de bosser
Nous empêchant de manger
Nous empêchant de dormir.
Nan vraiment les chats, c'est rien que
des branleurs.
vendredi 21 novembre 2014
Ma vie est un jeu vidéo
Il
faut l'avouer, ça démarre mal : level-design paresseux (une
ligne droite vers la sortie) et jouabilité basique, puisqu'il faut
juste marteler un bouton.
A
l'issue de ce niveau d’entraînement, le joueur arrive cependant à
son premier CheckPoint.
Et
là, c'est la déconfiture : la jouabilité est vraiment pourrie
vu que le personnage n'a aucun mouvement à sa disposition et que les
ennemis pullulent à l'écran.
Pour
progresser à travers les niveaux, le joueur n'a pas d'autre choix
que de s'appuyer sur le Mommy.
Cependant,
le Mommy n'est pas disponible dans les niveaux bonus « HELL
SCHOOL » ce qui rend la tâche difficile pour le joueur.
Vous
pourrez cependant parfois compter sur l'appui du « Player 2 »
pour terminer vivant ces niveaux.
Puis,
le scénario du jeu s'épaissit un peu en introduisant un méchant,
l'infâme Zgeg, qui transforme notre héros en monstre.
Commence
alors une partie « action/aventure » palpitante :
« The Legend of Micka » où notre héros doit partir en
quête. Chose rendue difficile par la présence des Nevross et des
Zobs volants sur la carte du monde. N'oubliez pas de ramasser les
Power-up « Roaccutane » laissés à votre disposition !
Mais
le héros finit par affronter et triompher de l'infâme Zgeg.
Le
héros retrouve un visage humain et le joueur découvre avec surprise
que Zgeg était en fait un gentil.
Le
jeu passe alors à une phase de « Shoot'em Up » (ou « jeu
de tir ») où, équipé du fidèle Zgeg, le joueur tire sur
tout ce qui bouge. Bon, on comprend pas vraiment pourquoi il faut
tirer sur tout, mais c'est très fun ! Le joueur finit par
découvrir et délivrer Bébé d'Amour l'Enchanteur.
Dans
une partie RPG (jeu de rôle) délicieuse, au scénario naïf mais
accrocheur, le joueur dirige notre héros aux côtés de Bébé
d'Amour l'Enchanteur. A eux d'eux, ils ne font plus qu'une bouchée
des méchants.
Sans
mal, ils parviennent jusqu'au boss, Gossbo le maléfique. On note
quand même la qualité du graphisme. Ce boss à l'air sacrément
balèze, mais le joueur n'a pas peur !
Grave
erreur ! Car tout bon RPG se doit d'avoir un twist que le joueur
n'a pas vu venir ! Bébé d'Amour l'Enchanteur se range en fait
du côté de Gossbo le maléfique et le joueur ne peut que s'incliner
face au challenge démesuré.
Le
jeu redevient alors nul vu qu'il n'y a plus aucune action disponible
pour le personnage principal. On s'ennuie ferme !
Ça
s'améliore légèrement avec un jeu d'aventure graphique et textuel,
archaïque et austère, pas bien palpitant et très répétitif.
Il
est heureusement entrecoupé de « mini jeux » débiles
mais rigolos.
Bon,
on se lasse vite des mini jeux débiles, donc les concepteurs
décident alors de ressortir les vieilles recettes du succès avec
« The Legend of Micka II » où le héros (fatigué)
repart en quête. Les « Roacutanes » ont été remplacés
par des « Effexors » avec un bon effet de boost de stat'.
Le
joueur pense alors pouvoir utiliser le Mommy comme au bon vieux
temps...mais le game-design a été visiblement revu et l'effet n'est
pas celui escompté.
Les
concepteurs ont commis une autre erreur : le but de la quête
est très vague et le joueur se retrouve souvent perdu, à errer sur
la carte du monde sans but ni indications.
C'est
presque par hasard finalement que le joueur tombe sur une méga-item
top secrète.
Avec
surprise, le joueur découvre que ce qu'il pensait être un jeu solo
est en fait un giga MMORPG (jeu de rôle en ligne massivement
multijoueur) où tout le monde est dans la merde.
« Grâce »
à l'item top-secrète...le jeu redevient alors très chiant. Mais il
est noté dans la soluce que c'est le seul moyen pour débloquer le
« True Ending » (« vraie fin ») et vraiment
finir le jeu.
Souvent,
les joueurs impatients ne peuvent s'empêcher de relancer des
mini-jeux débiles...
...et
du coup, leur personnage ne monte pas de niveau et se retrouve bien
incapable de battre l'ultime Boss de fin (qui est, avouons-le, un peu
abusé quand même!)
Et
évidemment, c'est le :
.
.
.
Bon,
d'après certains, le jeu à des « continue » illimités.
Inscription à :
Articles (Atom)